UN FOUR SOLAIRE – 2

Pour la finition, j’ai utilisé de l’huile de lin et térébenthine comme conseillé dans la doc pour l’ensemble du caisson et pour le couvercle, j’ai passé un vernis brillant pour que le film miroir adhère bien à la surface du contreplaqué. Le résultat est correct, ce n’est pas indécollable mais la feuille reste en place. J’ai ensuite fixé l’ensemble au cadre vitré avec une charnière « à piano » et pour régler l’inclinaison j’ai créé une crémaillère sur le coté plutôt que de percer le couvercle.

Les premiers tests de chauffe ont été concluant puisque la température est montée à 150°C sans trop surveiller l’orientation. N’étant pas sûr du bon séchage des finitions et des risques d’émanations, j’ai seulement fait cuire des aliments cet hiver avec quand même une température de 120° C en inclinaison à 60°, mais en position à 30° ça chauffait bien aussi (80-90°) avec ici la cuisson d’œufs. La prise de vue en accéléré (time-lapse) s’est arrêtée prématurément à cause de la chaleur, mais le blanc d’oeuf était bien figé !

Le tasseau que j’ai ajouté a donc un chant scié à 30° pour venir se fixé sous le cadre de la caisse (photo ci-dessous). Pour aller plus loin, j’ai modélisé cette version Atoubois avec le logiciel FreeCAD, logiciel libre avec lequel je débute, si ça peut vous inspirer…

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